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asefru id nni$ i^têlli i Iweqqasiyen d yinebgiwen...

10 Novembre 2012 , Rédigé par Hassani Mhamed

asefru id nni$ i^têlli i Iweqqasiyen d yinebgiwen n lherma

Weqqas

Weqqas tebha
Ma tessent-as
Safel sada
Nan-ak nant-as
Sa$el sura
Terra-d agla-s

Suq n lêed
£as d lexmis
Anebdu ileêq-ed
Baba-s itbaâ mmis
Nadam g ceîî
Yewfa tub$i-s

Weqas d aslem
Berra i waman
Yennerna g ilel
Yezde$ akal
Yeréa snasel
Yu$al d amdan

Weqas texnunes
G lusex ines
Zi$ ulac deg-s
Mi tepwaêres
Teooa llim d ifires
Tesumum g lqares

Weqqas din i lule$
Wissen amek
Fell-as âecqe$
Almi d ulamek
Fell-as rewle$
Ugade$ iy tehlek

Weqqas 08/11/12

Memmed HASSANI

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« Il n’est pas indispensable d’être fou pour...

10 Novembre 2012 , Rédigé par Hassani Mhamed

« Il n’est pas indispensable d’être fou pour faire du cinéma. Mais ça aide beaucoup. »
de Samuel Goldwyn

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cercle culturel et artistique de la ville d'Aokas

10 Novembre 2012 , Rédigé par Hassani Mhamed

cercle culturel et artistique de la ville d'Aokas

Pour un renouveau culturel

Le rideau vient de tomber sur le festival international du théâtre de Bejaia, à 25 km d’ici (Aokas) et la population d’Aokas n’a bénéficié d’aucun spectacle pour apprécier...! Un festival qui nous a laissé rêveur devant tant de faste parti en fumée... où des cultures sont venues de très loin s’exprimer chez nous pendant que tamazight est renvoyée à ses foyers ! Nous avons senti que tout le chemin parcouru s’est transformé en corde autour de notre cou, en nœud qui nous empêche de respirer, nœud fait de compromission et d’attente entretenue, nœud que nous ne savons plus défaire parce que toute alternative nous parait absurde. Cette négligence dont nous sommes victime sonne comme une nième provocation à laquelle nous répondrons par notre capacité à nous renouveler.

Le renouveau nous vient cette fois du « théâtre de la rue d’El-Harrach » qui ramène la « punaise » de Maikovsky dans sa valise et que la ville d’Aokas accueille avec modestie et chaleur comme elle a toujours accueilli les porteurs de lumière.
Ce que les milliards du festival de Bejaia ne lui a pas offert, cette troupe anonyme le lui offre, avec humilité et respect, (comme l’a fait, il n’y a pas longtemps, l’artiste Akli D.) au même endroit où la troupe d’Ait Aissa (Aokas) a bravé la dernière APC du parti unique pour représenter son spectacle « taberwit », parce qu’on lui avait interdit l’accès de la salle de cinéma et du centre culturel.
Admirez le résultat de décennies de gestion de l’infrastructure culturelle :
En 1978, une troupe d’Aokas a monté et présenté l’unique spectacle de la première pièce de théâtre en tamazight, contre vent et marrée, dans une salle de cinéma privée. A l’époque, il y avait trois salles de spectacle à Aokas (deux privées et une de la maison de jeune qui ont toutes fermées entre temps). L’Etat algérien s’est mis à construire des espaces culturels, l’espoir était permis.
En 1989, la troupe de Théâtre d’Ait aissa a représenté sa pièce de théâtre « taberwit » (qui continue à nous inspirer) sur l’esplanade de la salle de cinéma pour les motifs évoqués plus haut. (Refus d’autorisation de l’autorité).
En 2012 (09/11/12), la troupe d’El-Harrach présente son spectacle sur la même esplanade qu’en 1989, devinez pourquoi cette fois ? Parce que la salle de cinéma est en ruine ainsi que le centre culturel.

Aujourd’hui il n’y a plus de salle qui peut recevoir un spectacle. Plus besoin d’interdire ! Mais non, même en plein air il faut une autorisation !
Eh oui, les nouvelles ( ?) autorités (enfin on le croyait) ont tout fait pour réduire à néant le formidable potentiel culturel de la région (et du pays). Détruire la culture d’un peuple c’est lui enlever toute initiative, c’est l’affamer et le rendre dépendant. Même la culture qui nous est servie sur commande est surgelée et n’arrive pas dans nos contrées. Tous les circuits de production et de diffusion sont contrôlés. Les artistes sont appâtés et neutralisés sinon ridiculisés et poussés vers l’exil (interne ou externe).

Ce constat, qui n’est pas nouveau, nous laisse perplexe devant l’avenir. Pourtant nous savons que ce n’est pas une malédiction. Certains soupçonnent une punition pour insubordination de la part du pouvoir. D’autres veulent nous faire croire que c’est une tare algérienne, pendant qu’une troisième catégorie met en avant notre incapacité à jouir sans casser l’objet de notre désir ? De gros enfants qui ne maitrisent pas leur force ? Qui brisent leurs jouets ?
Ce bref détour nous fait réaliser combien il était vital de se ressaisir et de ne plus croire aux chants des sirènes de la rente si nous ne voulons pas finir pourri d’avoir trop attendu.
C’est pour cela qu’il faut rendre hommage à ceux qui activent sans moyen pour maintenir l’étincelle de la libre création, comme nos prédécesseurs, qui éclairera demain les générations de l’après rente, parce qu’ils se poseront la question du comment ont survécu ces fous d’artistes qui ont refusé de se plier.
L’approche et la gestion administratives de la culture nous a ruiné. C’est pour cela qu’il faut que les acteurs culturels se concertent pour définir une démarche cohérente pour un renouveau culturel au niveau local régional et national en conformité avec les aspirations des populations.
Aokas le 09/11/12

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une grande dame qui vient de loin mais bien de...

10 Novembre 2012 , Rédigé par Hassani Mhamed

une grande dame qui vient de loin mais bien de...

une grande dame qui vient de loin mais bien de chez nous et qui sait ce qu'elle veut!

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Hassani Mhamed shared Dramadjazairia...

8 Novembre 2012 , Rédigé par Hassani Mhamed

Hassani Mhamed shared Dramadjazairia...

Hassani Mhamed shared Dramadjazairia Dramalgérienne's photo.

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théâtre de rue ou réalité? non, on ne joue pas...

7 Novembre 2012 , Rédigé par Hassani Mhamed

théâtre de rue ou réalité? non, on ne joue pas...

théâtre de rue ou réalité? non, on ne joue pas avec la mort. chaque citoyen qui s'immole ou se donne la mort, c'est la situation de l'algérien fragilisé mis face au mur, qui est mise en évidence.

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Irrégularités et opacité dans la gestion de...

7 Novembre 2012 , Rédigé par Hassani Mhamed

Irrégularités et opacité dans la gestion de l’argent de l’Etat

le 07.11.12 | 10h00 9 réactions

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Manque de maîtrise, absence de rigueur, dysfonctionnements, insuffisance des procédures et inobservation des principes budgétaires. Tels sont, entre autres, les griefs que la Cour des comptes retient sur la gestion et l’exécution du budget de fonctionnement de l’Etat.

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même en culture les bilans de nos responsable ne ...

7 Novembre 2012 , Rédigé par Hassani Mhamed

même en culture les bilans de nos responsable ne sont que statistiques! que des chiffres! c'est vrai, il ne reste qu'à justifier des trous, le théâtre on l'oubli, mais la comptabilité reste. le mérite de ce festival est de nous avoir encore une fois fait prendre conscience que les seules avancées culturelles dans notre pays sont celles initiées par les artistes en marge des manifestations officielles: et là nous avons été absents! il faut en tirer les leçons!

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vendredi à 14h. sur l'esplanade qui a accueilli...

7 Novembre 2012 , Rédigé par Hassani Mhamed

vendredi à 14h. sur l'esplanade qui a accueilli...

vendredi à 14h. sur l'esplanade qui a accueilli le fameux spectacle "taberwit" de la troupe "aitaissa" d'Aokas en 1989! c'était le premier acte de nombreuses actions culturelles qui ont propulser Aokas au premier rang des communes les plus active culturellement... Aokas était à l'avant garde!
faisons de ce spectacle, un nouveau départ pour renouer avec les énergies positives de la région. le théatre est ce moment magique où l'homme se réconcilie avec lui même et se reconnait comme l'acteur de son destin.

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Hassani Mhamed shared Ahcene Mariche's status...

5 Novembre 2012 , Rédigé par Hassani Mhamed

Hassani Mhamed shared Ahcene Mariche's status update.

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