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il y a eu aussi de la poésie en tamazight!

12 Novembre 2012 , Rédigé par Hassani Mhamed

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le train du renouveau est en marche que tous les...

12 Novembre 2012 , Rédigé par Hassani Mhamed

le train du renouveau est en marche que tous les...

le train du renouveau est en marche que tous les artistes indépendants se manifestent aux différentes gares de l'art.

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Le Rêve éteint est le titre de la dernière...

12 Novembre 2012 , Rédigé par Hassani Mhamed

Le Rêve éteint est le titre de la dernière...

Le Rêve éteint est le titre de la dernière pièce théâtrale de Kamel Aderkichi qui n’a jamais vu le jour en Algérie . Les embûches et les entraves ne l’empêchent pourtant pas de rêver. Il y croit dur comme fer même s’il sait que la partie est perdue d’avance. Il refuse de baisser les bras sinon son rêve s’éteint et son œuvre prendra le même chemin que celui de dizaines de pièces théâtrales jetées aux oubliettes.

En attendant, le dramaturge Kamel Aderkichi, ce fils d’El-Harrach, se produit régulièrement à la galerie d’art gracieusement offerte par son ami, Farid Benyaâ, architecte et artiste plasticien.

Sa rencontre avec le théâtre remonte à sa jeunesse. Du temps où la culture occupait une place importante dans notre pays. Au lycée Abane Ramdane d’El-Harrach, il fait la connaissance de futurs hommes de culture tels qu’Arezki Metref, Kaïdi Abdelkader et les regrettés Sadek Aïssat et Belbey Mohamed. Une rencontre marquée d’une croix de fer puisque Kamel ne quittera jamais la scène même si certaines circonstances l’obligent parfois à revêtir la blouse de cuistot pour s’occuper de gastronomie dans des hôtels de luxe. Au fait, il excelle dans ce métier comme il le fait au théâtre. C’est pratiquement le cas de tous les artistes algériens qui, faute d’être considérés à leur juste valeur, se rabattent sur d’autres métiers pour gagner leur croûte. Pourtant rien ne le prédisposait à épouser la scène, lui qui était beaucoup plus attiré par le football comme tous les jeunes de l’époque. Il a failli d’ailleurs porter les couleurs de l’USM Maison Carrée, aujourd’hui connue sous le nom de l’USMH. Mais, son père, syndicaliste à l’ex-RSTA , refusait catégoriquement de voir son fils quitter l’école au profit du football.

Dès 1972, ce dramaturge rejoint la troupe d’El-Harrach. Le théâtre de la rue. Il n’avait à cette époque que 17 ans. D’un talent indiscutable et d’un amour incommensurable pour cet art, Kamel met son talent au service de cette troupe en participant à la création de la pièce Sens interdit qui, dès sa sortie, a rencontré un grand succès. «A partir de cet instant, nous avons eu l’honneur d’être contactés par Kateb Yacine qui nous a enseigné le chant, la diction, la mise en scène académique et les rudiments de la dramaturgie», a expliqué Aderkichi qui, outre le théâtre, était aussi porté sur le rock’n’roll dont les porte-étendards étaient les Led Zepplin, Jimmy Hendrix Deep Purple et les Who.

Le théâtral voyageur

De cette époque, ce bourlingueur retient cet enthousiasme pour le théâtre dont la place était indiscutable dans la société algérienne. La guerre d’Amgala oblige Kamel à prendre ses valises pour fuir son incorporation dans l’armée. L’insistance de son père finit par le faire abdiquer. Il choisit comme pied à terre la ville de Paris, carrefour de toutes les cultures. Il y passera une année avant d’opter pour le Finistère sud où il s’installa dans la ville de Quimper : « J’y ai vécu aux côtés des communautés marginales.» Sa rencontre avec le dramaturge, René Barbier, va changer le cours de sa vie. Il l’a initié au montage poétique théâtralisé, un métier qu’il n’a jamais plus quitté même s’il trouve d’énormes difficultés à le traduire sur scène, à cause de l’incompréhension des uns et de l’absence de producteurs.

Pour parfaire ses connaissances, Aderkichi refait encore une fois ses valises en partance pour Londres, le pays de Shakespeare. Durant son séjour anglais, il a eu la chance de travailler comme commis de salle dans des hôtels classés : «C’est ce qui a fait de moi aujourd’hui un directeur de la restauration et en même temps un formateur.» Même en travaillant comme serveur, Aderkichi n’oubliera pas sa vocation d’artiste. Il travailla ensuite à l’English National Opera, un luxueux restaurant situé à proximité de l’Opera Covent Garden, le plus grand opéra de Londres. Il s’y inscrit pour suivre une formation de scénographie et de mise en scène. «Je me suis retrouvé dans un monde magique», dira celui qui, tout au long de son séjour dans la ville du brouillard, a vécu sous une fausse identité.

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cercle culturel et artistique de la ville d'Aokas

11 Novembre 2012 , Rédigé par Hassani Mhamed

cercle culturel et artistique de la ville d'Aokas

je viens de découvrir une biographie de notre ami Kamal A. du théâtre de la rue d'ElHerache qui s'est produit à Aokas le 09/11/12. un parcours passionnant, difficile à deviner devant la simplicité et la modestie de l'artiste. je vos livre une partie..:

Le Rêve éteint est le titre de la dernière pièce théâtrale de Kamel Aderkichi qui n’a jamais vu le jour en Algérie . Les embûches et les entraves ne l’empêchent pourtant pas de rêver. Il y croit dur comme fer même s’il sait que la partie est perdue d’avance. Il refuse de baisser les bras sinon son rêve s’éteint et son œuvre prendra le même chemin que celui de dizaines de pièces théâtrales jetées aux oubliettes.

En attendant, le dramaturge Kamel Aderkichi, ce fils d’El-Harrach, se produit régulièrement à la galerie d’art gracieusement offerte par son ami, Farid Benyaâ, architecte et artiste plasticien.

Sa rencontre avec le théâtre remonte à sa jeunesse. Du temps où la culture occupait une place importante dans notre pays. Au lycée Abane Ramdane d’El-Harrach, il fait la connaissance de futurs hommes de culture tels qu’Arezki Metref, Kaïdi Abdelkader et les regrettés Sadek Aïssat et Belbey Mohamed. Une rencontre marquée d’une croix de fer puisque Kamel ne quittera jamais la scène même si certaines circonstances l’obligent parfois à revêtir la blouse de cuistot pour s’occuper de gastronomie dans des hôtels de luxe. Au fait, il excelle dans ce métier comme il le fait au théâtre. C’est pratiquement le cas de tous les artistes algériens qui, faute d’être considérés à leur juste valeur, se rabattent sur d’autres métiers pour gagner leur croûte. Pourtant rien ne le prédisposait à épouser la scène, lui qui était beaucoup plus attiré par le football comme tous les jeunes de l’époque. Il a failli d’ailleurs porter les couleurs de l’USM Maison Carrée, aujourd’hui connue sous le nom de l’USMH. Mais, son père, syndicaliste à l’ex-RSTA , refusait catégoriquement de voir son fils quitter l’école au profit du football.

Dès 1972, ce dramaturge rejoint la troupe d’El-Harrach. Le théâtre de la rue. Il n’avait à cette époque que 17 ans. D’un talent indiscutable et d’un amour incommensurable pour cet art, Kamel met son talent au service de cette troupe en participant à la création de la pièce Sens interdit qui, dès sa sortie, a rencontré un grand succès. «A partir de cet instant, nous avons eu l’honneur d’être contactés par Kateb Yacine qui nous a enseigné le chant, la diction, la mise en scène académique et les rudiments de la dramaturgie», a expliqué Aderkichi qui, outre le théâtre, était aussi porté sur le rock’n’roll dont les porte-étendards étaient les Led Zepplin, Jimmy Hendrix Deep Purple et les Who.

Le théâtral voyageur

De cette époque, ce bourlingueur retient cet enthousiasme pour le théâtre dont la place était indiscutable dans la société algérienne. La guerre d’Amgala oblige Kamel à prendre ses valises pour fuir son incorporation dans l’armée. L’insistance de son père finit par le faire abdiquer. Il choisit comme pied à terre la ville de Paris, carrefour de toutes les cultures. Il y passera une année avant d’opter pour le Finistère sud où il s’installa dans la ville de Quimper : « J’y ai vécu aux côtés des communautés marginales.» Sa rencontre avec le dramaturge, René Barbier, va changer le cours de sa vie. Il l’a initié au montage poétique théâtralisé, un métier qu’il n’a jamais plus quitté même s’il trouve d’énormes difficultés à le traduire sur scène, à cause de l’incompréhension des uns et de l’absence de producteurs.

Pour parfaire ses connaissances, Aderkichi refait encore une fois ses valises en partance pour Londres, le pays de Shakespeare. Durant son séjour anglais, il a eu la chance de travailler comme commis de salle dans des hôtels classés : «C’est ce qui a fait de moi aujourd’hui un directeur de la restauration et en même temps un formateur.» Même en travaillant comme serveur, Aderkichi n’oubliera pas sa vocation d’artiste. Il travailla ensuite à l’English National Opera, un luxueux restaurant situé à proximité de l’Opera Covent Garden, le plus grand opéra de Londres. Il s’y inscrit pour suivre une formation de scénographie et de mise en scène. «Je me suis retrouvé dans un monde magique», dira celui qui, tout au long de son séjour dans la ville du brouillard, a vécu sous une fausse identité.
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il était temps monsieur Athmani

11 Novembre 2012 , Rédigé par Hassani Mhamed

il était temps monsieur Athmani

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j'aime ces lieux de mémoire séculaire...

11 Novembre 2012 , Rédigé par Hassani Mhamed

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je m’entraîne à mettre sur pied mon blog...

10 Novembre 2012 , Rédigé par Hassani Mhamed

je m’entraîne à mettre sur pied mon blog personnel,suis un mauvais maçon, alors prenez patience.

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mon premier pas pour mettre en place un blog...

10 Novembre 2012 , Rédigé par Hassani Mhamed

mon premier pas pour mettre en place un blog personnel!

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asefru id nni$ i^têlli i Iweqqasiyen d yinebgiwen...

10 Novembre 2012 , Rédigé par Hassani Mhamed

asefru id nni$ i^têlli i Iweqqasiyen d yinebgiwen n lherma

Weqqas

Weqqas tebha
Ma tessent-as
Safel sada
Nan-ak nant-as
Sa$el sura
Terra-d agla-s

Suq n lêed
£as d lexmis
Anebdu ileêq-ed
Baba-s itbaâ mmis
Nadam g ceîî
Yewfa tub$i-s

Weqas d aslem
Berra i waman
Yennerna g ilel
Yezde$ akal
Yeréa snasel
Yu$al d amdan

Weqas texnunes
G lusex ines
Zi$ ulac deg-s
Mi tepwaêres
Teooa llim d ifires
Tesumum g lqares

Weqqas din i lule$
Wissen amek
Fell-as âecqe$
Almi d ulamek
Fell-as rewle$
Ugade$ iy tehlek

Weqqas 08/11/12

Memmed HASSANI

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